Je n'arrive pas à croire que l'on soit déjà le 13 mars 2024. Comment le temps as-t-il pu passer si vite ? Depuis janvier je me suis rendu en Bretagne pour rendre visite à Yannick et sa famille, je vous raconte ça.

Comment profiter de la Bretagne quand il ne fait que pleuvoir ?

Je sais ce que vous allez me dire, c'est un cliché, m'enfin en janvier 2024 la bretagne c'était de la pluie a n'en plus finir. Alors comment avons nous profité de notre séjour en Bretagne ? En acceptant ce fait, nous baladant sous la pluie, chaque jours. Heureusement Cloé nous a réchauffé le coeur, de par ses crepes certes, mais surtout de par sa présence.

Penser qu'il est temps.

Alors que le soleil daigne nous partager un peu de sa lumière, je me pense prêt à prendre de nouveau un chien dans ma vie. Le futur m'apprendra que j'avais tord (oui j'ai fini d'écrire cet article de 2024 en février 2025). J'ai longtemps eu honte de cette situation, alors que je suis bien content d'avoir trouvé un couple qui l'occupe si bien d'elle maintenant, mieux que je l'aurais surement fait. J'ai souvent de ces nouvelles et tous semble plus que très bien aller.

Rencontre

Nous sommes allés en Bretagne pour rencontrer Yannick et Cloé. Je ne pensais pas y rencontrer aussi Tom et Louise. C’était agréable de rencontrer des personnes posées, calmes et patientes avec leurs enfants. Cela permet de découvrir deux enfants qui, bien que jeunes, sont déjà très posés et réfléchis, rendant possible un réel échange.

En fait je ne sais quoi dire de plus, ce fut un moment légèrement hors du temps, signe d'une bonne rencontre. Nous parlâmes de tout et de rien, avec facilité, comme si nous nous étions déjà rencontré quelques années plus tôt. Merci pour votre l'accueil.

Écrit en 2025.

Comme vous avez pu le lire plus tôt, je finis d’écrire ce billet en 2025. À l’époque, je me disais : « Déjà en mars ? ». Je me souviens de ce sentiment étrange de ne pas avoir vu le temps passer, d’avoir l’impression de n’avoir rien vécu durant des semaines. C’est bizarre, j’ai peu de souvenirs de cette période, sans doute à cause de la mauvaise qualité de mon sommeil à ce moment-là.